Plus le niveau alvéolaire est apical, plus le bras de levier coronaire est important et plus l’effet des contraintes occlusales
Figure 3 :Démontage d’un ancien bridge dentaire (16 ans) : 13 en parfait état est conservée pulpée, tandis qu’un nouveau faux moignon est réalisé sur 11 plus délabrée (A), autorisant la réalisation d’un nouveau bridge dentaire de trois éléments (B).
Figure 4 : bridge dentaire séparé et extrait, constatons les différences des surfaces radiculaires totales entre 26 et 27.
sera nocif. Le rapport couronne/racine clinique (ou longueur coronaire extraosseuse/longueur radiculaire intraosseuse) idéal est de 1/2. En fait, il est plus fréquemment de 2/3 et le rapport égal à 1/1 est une limite.
Dans le cas d’un pilier implantaire, il conviendra de choisir un diamètre de fixture plus grand pour compenser une longueur réduite par la présence d’obstacles anatomiques. Ainsi, la surface implanto-osseuse efficace sera satisfaisante.
Les racines dont le diamètre vestibulolingual est supérieur au diamètre mésiodistal sont préférables à celles ayant une section circulaire. Les racines divergentes d’une dent pluriradiculée offrent une meilleure assise que celles qui convergent, fusionnent ou présentent une forme tronconique.
Elle représente la surface de la racine recouverte par le ligament parodontal. Il existe une règle générale au sujet du nombre de dents absentes pouvant être remplacées par une prothèse fixe dans de bonnes conditions : c’est la loi d’Ante « la surface radiculaire globale des points d’appui doit être égale ou supérieure à celle présumée des dents remplacées » (Fig. 4). Des séparations de racines ou des hémisections peuvent être envisagées dans le cas des bridges dentaires, à condition de bien évaluer les conditions mécaniques et la qualité des autres appuis, l’intérêt réel de conservation de la molaire séparée, les possibilités de maintenance après réalisation de la prothèse (Fig. 5,6).
Figure 3 :Démontage d’un ancien bridge dentaire (16 ans) : 13 en parfait état est conservée pulpée, tandis qu’un nouveau faux moignon est réalisé sur 11 plus délabrée (A), autorisant la réalisation d’un nouveau bridge dentaire de trois éléments (B).
Figure 4 : bridge dentaire séparé et extrait, constatons les différences des surfaces radiculaires totales entre 26 et 27.
Figure 5 : Intrados d’un bridge dentaire avec séparation de racines sur 46 et extraction de la racine mésiale ; passage aisé des instruments d’hygiène.
sera nocif. Le rapport couronne/racine clinique (ou longueur coronaire extraosseuse/longueur radiculaire intraosseuse) idéal est de 1/2. En fait, il est plus fréquemment de 2/3 et le rapport égal à 1/1 est une limite.
Figure 4


Figure 3A, B
Forme des racinesLes racines dont le diamètre vestibulolingual est supérieur au diamètre mésiodistal sont préférables à celles ayant une section circulaire. Les racines divergentes d’une dent pluriradiculée offrent une meilleure assise que celles qui convergent, fusionnent ou présentent une forme tronconique.

Figure 5
Surface radiculaire efficaceElle représente la surface de la racine recouverte par le ligament parodontal. Il existe une règle générale au sujet du nombre de dents absentes pouvant être remplacées par une prothèse fixe dans de bonnes conditions : c’est la loi d’Ante « la surface radiculaire globale des points d’appui doit être égale ou supérieure à celle présumée des dents remplacées » (Fig. 4). Des séparations de racines ou des hémisections peuvent être envisagées dans le cas des bridges dentaires, à condition de bien évaluer les conditions mécaniques et la qualité des autres appuis, l’intérêt réel de conservation de la molaire séparée, les possibilités de maintenance après réalisation de la prothèse (Fig. 5,6).